vaccinations - encore un conflit d’intérêts !

Le 8 février dernier, le Conseil d’Etat enjoint à l’Etat, « dans un délai de six mois, et sauf à ce que la loi évolue en élargissant le champ des vaccinations obligatoires, de prendre des mesures ou de saisir les autorités compétentes pour permettre de rendre disponibles des vaccins correspondant aux seules obligations de vaccination ».

La ministre de la Santé peut dès lors appliquer les recommandations émises par le comité d’orientation de la Concertation citoyenne sur la vaccination, présidé par le Pr Alain Fischer. Parmi celles-ci : l’élargissement de l’obligation vaccinale à onze pathologies, au lieu de trois jusqu’à présent.

Elle peut aussi écouter la demande exprimée avec force par les citoyens lors de cette concertation : la mise à disposition de vaccins sans aluminium.

Certains « experts », notamment le réseau Infovac (dont certains membres ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique), se répandent dans tous les médias et encouragent la ministre à choisir la solution « 11 vaccinations obligatoires ».

La ministre de la Santé a annoncé clairement que les citoyens devaient être au cœur du processus de concertation mené par le Pr Fischer. Or que s’est-il passé lors de cette concertation ? Les citoyens ont majoritairement demandé la levée de l’obligation vaccinale.

La toxicité de l’aluminium utilisé comme adjuvant inquiète en effet les citoyens et les jurys. Mais le « comité Fischer » conseille d’augmenter le nombre des vaccinations obligatoires.

Les jurys ne veulent pas encourager la vaccination contre le papillomavirus (Gardasil ou Cervarix), qui fait l’objet de nombreuses critiques. Mais le comité Fischer recommande le développement de la vaccination des jeunes filles et son extension aux jeunes garçons avec prise en charge à 100 % par la Sécurité sociale.

L’Association d’entraide aux malades de myofasciite à macrophages (E3M) a analysé très précisément le contenu de la concertation menée par le comité Fischer. Le rapport qu’elle a adressé à la ministre de la Santé est accablant : le comité Fischer, comme la plupart des « experts » dans le domaine de la vaccination, subit l’influence toujours plus forte de l’industrie pharmaceutique.

Il est urgent d’agir afin que la population ait accès, comme elle le demande, à des vaccins sans aluminium. Il est tout aussi urgent de financer une recherche publique et indépendante, d’assurer la transparence des décisions prises par les autorités sanitaires et de lever l’obligation vaccinale, car les Français seront rassurés par les décisions prises.

La ministre de la Santé a devant elle un choix simple : s’engager sur le chemin que la grande majorité des citoyens indique… ou rester sous l’influence de l’industrie.

Association E3M
Le Barrail
33410 Monprimblanc
Site : www.asso-e3m.fr

Campagne pour des vaccins sans aluminium :
www.vaccinssansaluminium.org